Rechercher un produit
Catégories produit
Filtrer les produits
Laure Samama est une artiste pluridisciplinaire dont les médiums de prédilection sont la photographie et l’écriture. Elle est diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure de Photographie d’Arles et de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Belleville. Elle a exercé l’architecture jusqu’en 2013, avant de décider de se consacrer à sa pratique artistique. Son œuvre est fictionnelle et explore l’altérité, le désir, le rapport à la nature et à l’autre. Elle a publié Ce qu’on appelle aimer, Je danse seule et Tes mains s’effacent aux éditions Arnaud Bizalion, La maison sans toit aux éditions Light Motiv, Les cavités aux éditions de poésie Isabelle Sauvage.
Elle a exposé la série Trouer l’opacité à la galerie Vu et à la Maison Robert Doisneau. Elle a lu Les cavités pour Le printemps des poètes 2024. Le service des estampes de la Bibliothèque Nationale de France, ainsi que la galerie du Château d’eau ont acquis ses livres d’artiste.
Je danse seule : · “Je danse seule n'est pas qu'un livre de photo, mais il n'est pas non plus seulement une autobiographie. C'est un objet hybride, texte et photo - photo et texte, où Laure Samama se livre, se raconte ; où l'image et les mots sont en relation permanente.”, 5, RUE DU, Frédéric Martin. ·
“Paraît dans la collection Notes chez Arnaud Bizalion Editeur, le nouvel opuscule de Laure Samama, Je danse seule, récit en phrases studium et images punctum d’une drôle de guerre faite à la sensibilité.” Dans l’hypnagogie, par Laure Samama, écrivain, photographe, L’intervalle, Fabien Ribery.
· Interview, FranceFineArt, Anne Frédérique Fer, mai 2021.
Ce qu’on appelle aimer
“Nous sommes traces de ce qui aurait pu advenir.”, Ce qu’on appelle l’amour, La viduité, 5 juillet 2024 ·
“L’odeur de la gêne, l’indécision des gestes, la panique au visage. Les mots chuchotés « trop tard ».”, Entre les lignes, entre les mots, Didier Epzstajn, 30 juin 2024 ·
“Lire Ce qu'on appelle aimer n'a rien d'anodin.”, 5, RUE DU, Frédéric Martin.
“Les chapitres sont brefs, parfois de quelques mots, des sanglots étouffés, des poèmes de rien, disant la banalité et la force troublante des amours déçues, telle une façon de se tenir debout dans l’abîme.” L'amour des hommes perdus, L'intervalle, Fabien Ribery, 1er mars 2017.
· “Laure Samama double ses textes de photographies-métaphores pour évoquer ce que les mots ne peuvent pas montrer.” La cause littéraire, Jean-Paul Gavard Perret.