La promenade de Rilke, Brenda Hoffman/ÉPUISÉ
La forêt de Worpswede, extérieur, jour, promenade.
C’est une amie russe, Tania, qui m’a mis sur les traces de Rilke. Je me suis demandé quel était l’état d’esprit du poète marchant sur les mêmes sentiers. Je n’ai trouvé aucun indice dans son œuvre. C’est dans sa correspondance que j’ai découvert les réponses. Cette fin d’été de son premier séjour à Worpswede, Lou Andreas-Salomé venait de quitter Rilke. Mais il y rencontre celle qui deviendra son épouse. Le poème choisi, même si antérieur, fait un profond écho dans ma vie aux images que j’ai prises, à mes amis russes parlant et marchant avec moi. En sachant que Rilke y a rencontré un nouvel amour, ces mots résonnent entre les arbres avec espoir. Brenda Hoffman “Un temps la forêt est inquiète, la moindre branche se fige d’angoisse et l’attente lui paraît longue - jusqu’à ce que l’orage en frappe les cimes et que toute la forêt ne soit plus qu’un chant : merci de tenir mon coeur dans tes mains, merci !"
Extrait du livre Correspondance, lettres de Rainer Maria Rilke et Lou Andreas-Salomé, traduites de l’allemand par Philippe Jaccottet. Ed. Gallimard
Genre : photographie
Collection Notes
Format fermé : 11,5 x 15,5 c
Format ouvert 32 volets : 1,68 m
10 photographies
Forme : leporello (pli accordéon) avec couverture
Clil : Photographie/3694-Monographie
EAN 9782369800590
ISBN 978-2-36980-059-0 - ISSN : 2425-6277
Avril 2015
50€
Tirage de tête : 15 exemplaires de l'ouvrage, numérotés, signés de 1/15 à 15/15. Chaque exemplaire est présenté dans une boîte tiroir en PP* (polypropylène) accompagné d'une photographie originale, tirage d'auteur numéroté à 15 exemplaires, sur papier coton Hahnemuhle Ilford multigrade Art 300, virée au sélénium et peinte à la main à l'encre. Disponible le n° 11/15 _ 250 €.
* Le polypropylène est un matériau translucide à forte densité extrêmement rigide et résistant.